lundi 31 décembre 2012

Delphine Batho rencontre des agents du service public de l'électricité



Lundi 31 décembre 2012, Delphine Batho, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie a rendu visite au personnel du Centre National de dispatching - RTE à Saint-Denis et au personnel de l'Agence de « conduite » - ERDF à Paris.




Présentation du Centre National de dispatching de RTE


Delphine Batho rencontre les agents de RTE à Saint-Denis - Crédits photo : Arnaud Bouissou / MEDDE


Au sein de RTE, gestionnaire du réseau public de transport d'électricité, le Centre National d'Exploitation du Système de Saint-Denis est le « dispatching national » du système électrique français. C'est depuis le dispatching national de SaintDenis que RTE régule, en temps réel et en permanence, l'équilibre entre l'offre et la demande d'électricité en France. Il s'assure aussi que la quantité d'énergie électrique transportée respecte toujours les capacités techniques des lignes de transport. Ces activités sont primordiales pour prévenir les risques de black-out dans notre pays.


Ce centre est la « tour de contrôle » nationale du système électrique français qui supervise, en temps réel, les flux d'énergie électrique sur les 21 000 km de lignes de transport à 400 000 Volts qui desservent le territoire national, et de la gestion des échanges d'électricité entre la France et ses pays voisins sur les 45 interconnexions électriques qui relient notre réseau à ceux des six pays voisins (Angleterre par un câble sousmarin ; Belgique, Allemagne, Suisse, Italie et Espagne par des liaisons aériennes).


(Source RTE)


Présentation des agences de conduite régionale d'ERDF


Delphine Batho rencontre les agents d'ERDF à Paris - Crédits photo : Arnaud Bouissou / MEDDE


500 spécialistes, « aiguilleurs de l'électricité » sont présents dans les 31 agences de conduite régionale (ACR). Ces véritables tours de contrôle d'ERDF, assurent la conduite des réseaux.


ERDF a modernisé près de 600000 km de lignes qui sont aujourd'hui équipées de plus de 100000 appareils de télécommande surveillés et pilotés par ces 31 tours de contrôle chargées de suivre en temps réel, 24 heures sur 24, l'état du réseau moyenne tension et d'apporter des solutions en quelques minutes à tout incident. Ces fonctions permettent de façon automatique, et donc très rapide, de localiser un incident, d'isoler la partie du réseau en défaut, et de reconfigurer le réseau pour limiter le temps de coupure des clients.


(Source : ERDF)






Meilleurs vœux 2013




La Commission mixte inondation valide 8 nouveaux programmes d'actions


La Commission mixte inondation (CMI) réunie pour une 8ème session le 19 décembre 2012, a décidé d'élargir la concertation nationale en ouvrant largement l'accès aux ateliers thématiques à de nouveaux acteurs, afin de répondre aux grands défis de la stratégie nationale de prévention inondation.




Cette dernière se concrétise d'ores déjà au travers des programmes d'actions de prévention des inondations labellisés par la CMI, qui aujourd'hui couvrent l'ensemble des territoires touchés par la tempête Xynthia et les inondations du Var en 2010.


La CMI clôture ainsi l'année en validant huit nouveaux programmes pour un montant total de 135 millions d'euros. : 7 PAPI* (programme d'action de prévention des inondations) et 1 PSR* (plan submersions rapides) :


* PAPI Arve,

* PAPI Agglomération de La Rochelle,

* PAPI Gardons,

* PAPI Réart,

* PAPI Têt,

* extension du PAPI Yves Chatellaillon, Aix et Fouras les bains

* le PAPI d'intention Argens.

* Les digues de Sérignan,


L'ensemble des 48 programmes mis en place depuis juillet 2011 représente un montant total de 610 millions d'euros avec une participation de l'État d'environ 230 millions d'euros.








Les premières chartes des parcs nationaux approuvées



Les décrets validant les chartes des parcs nationaux des Écrins, du Mercantour et des Pyrénées ont été signés le 30 décembre 2012 par Dephine Batho, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de Energie.




Crédits photo : Jean-Pierre Mareschal / MEDDE. Jardin botanique alpin du Lautaret dans le Parc national des Ecrins Il s'agit d'une étape importante dans la mise en œuvre de la loi du 14 avril 2006 qui a réformé le statut des parcs nationaux. Elle a introduit la notion d'aire d'adhésion et rendu obligatoire l'élaboration d'une charte approuvée par décret en Conseil d'Etat.


Présentation de la charte


A partir d'un diagnostic identifiant les enjeux propres du parc, la charte présente les engagements de l'ensemble des acteurs et des communes concernés autour de programmes d'actions. Elle distingue deux zones :



  • le cœur du parc. A l'intérieur, un régime de protection stricte s'applique et la charte se décline en objectifs et en mesures réglementaires, qui sont définis par le décret de création propre à chaque parc national.

  • l'aire d'adhésion. Dans ce périmètre, la charte comporte des orientations de développement durable : préservation des ressources (eau, paysages, biodiversité...), développement rural, transition énergétique et promotion des activités touristiques et sportives.


Trois premières chartes approuvées


La signature des décrets, le 30 décembre 2012, concerne les chartes de trois parcs anciens et emblématiques :



  • le parc national des Pyrénées a été créé en 1967 ;

  • le parc des Écrins en 1973 ;

  • le parc du Mercantour en 1979.


Dès maintenant, l'ensemble des communes de l'aire d'adhésion de ces trois parcs nationaux sont invitées, dans les semaines à venir, à se prononcer sur leur adhésion à cette charte. Les communes qui y auront adhéré feront partie du parc national, au même titre que les communes du cœur du parc.


Les enjeux en termes de superficies susceptibles d'être protégées par ces 3 chartes sont considérables :



  • le parc national des Pyrénées est composé d'un cœur de 45 700 ha et d'une aire d'adhésion de 206 300 ha, soit 86 communes ;

  • le parc national des Écrins est composé d'un cœur de 92 527 ha et d'une aire d'adhésion de 178 854 ha soit 61 communes ;

  • le parc national du Mercantour est composé d'un cœur de 68 500 ha et d'une aire d'adhésion de 146 500 ha, soit 28 communes.


La mise en œuvre de ces chartes mobilisera prioritairement la programmation des moyens de l'État, des collectivités publiques et de l'établissement public des parcs nationaux. Parallèlement, Delphine Batho a confié au Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD) une mission d'évaluation de la réforme de 2006 et de la situation des parcs nationaux et réaffirmé l'engagement de l'État en faveur des parcs nationaux.


Les chartes des autres parcs nationaux seront approuvées dans le courant du premier semestre 2013.







dimanche 30 décembre 2012

#1P10S - NO NAME



C’est l’heure du dernier 1 pièce 10 styles de l’année avec ce mois-ci un défi de taille : créer une tenue avec une paire de sneakers compensées en toile No Name. J’avoue que ce n’est pas trop ma cup of tea à la base, mais que j’ai trouvé très amusant de me forcer à les associer à une tenue qui[...]


vendredi 28 décembre 2012

+ 1,2% en novembre pour les billets d'avion au départ de la France


La construction de l'indice des prix du transport aérien de passagers (IPTAP) répond à la nécessité de suivre l'évolution des prix au même titre que l'évolution du trafic aérien, afin d'observer le marché dans sa globalité.



La DGAC a opté pour une méthode fondée sur une collecte automatique de multiples relevés tarifaires de façon à tenir compte de la grande diversité des tarifs existants pour un même voyage aérien. Le prix d'un billet d'avion varie en effet en fonction de la classe de transport, de la date du voyage, de la date à laquelle est effectuée la réservation, de la durée du séjour sur place, etc.


Hausse des prix sur 12 mois masquant des résultats très contrastés par faisceau géographique


En novembre 2012, les prix des voyages aériens au départ de France affichent une légère hausse, plus limitée que les deux mois précédents, de 1,2% par rapport au mois de novembre 2011. Pour les seuls voyages au départ de métropole, la hausse n'est que de 0,7%.


Comme les mois précédents, la plus forte variation de l'indice des prix mesurée par la DGAC concerne les voyages aériens au départ de la métropole vers l'outre-mer (+10,9%). A l'intérieur de la métropole, la tendance à la baisse observée les mois précédents s'inverse et les prix augmentent à nouveau en novembre (+1% par rapport à novembre 2011). Globalement, la DGAC estime la hausse des prix des voyages aériens intérieurs à 3,5% entre novembre 2011 et novembre 2012.


A l'international, l'indice des prix du transport aérien de passagers est stable entre novembre 2011 et 2012, masquant cependant des disparités par faisceau géographique.

En moyen-courrier, les prix des voyages aériens vers l'espace économique européen et la Suisse augmentent de 1,6% alors qu'ils diminuent vers les autres destinations moyen-courriers (-2,8%) : vers le Moyen-Orient comme les mois précédents, mais aussi vers l'Afrique du Nord et l'Europe hors EEE & Suisse.

Vers les destinations long-courriers, les prix sont en très légère hausse (+0,3%). La contraction de l'offre vers l'Amérique du Nord continue à avoir un effet à la hausse sur les prix (+2,6%) alors que vers l'Asie-Pacifique, les prix diminuent pour la 1ère fois depuis la construction de l'IPTAP (-2,3% entre novembre 2011 et novembre 2012).




Recul des prix du transport aérien de 4,6% entre octobre et novembre 2012


Malgré le prolongement des vacances scolaires cette année jusqu'au 11 novembre, les prix des voyages aériens au départ de France diminuent globalement de 4,6% par rapport au mois d'octobre 2012 et de 5% pour les seuls départs de Métropole.


Cette baisse saisonnière des prix se constate sur tous les faisceaux géographiques sauf pour les voyages intra-métropolitains (+0,9%) et les voyages aériens au départ des DOM (+2,2%) ; elle est particulièrement marquée vers l'Afrique du Nord (-10,2%).


Indice des prix - Novembre 2012 (PDF - 936 Ko)


Numéros précédents







Loi sur la participation du public : une avancée pour les droits des citoyens



Le premier projet de loi défendu par Delphine Batho a été promulgué et publié au Journal Officiel le 28 décembre 2012. Ce projet vise à garantir l'information et la participation du public aux décisions prises en matière d'environnement comme prévu par la Charte de l'environnement.




Il s'agit d'une avancée importante pour les droits des citoyens en matière d'environnement.


Cette loi relative à la mise en œuvre du principe de participation du public défini à l'article 7 de la Charte de l'environnement a été adoptée le 13 décembre dernier avec une très large majorité tant au Sénat qu'à l'Assemblée nationale.


Le principe de participation du public posé, pour la première fois, par la Convention d'Aarhus a été consacré en 2004 par l'article 7 de la Charte de l'environnement comme un principe à valeur constitutionnelle : il permet à toute personne d'être associée à l'élaboration des décisions publiques ayant un impact sur l'environnement, en formulant ses observations sur le projet de décision.


Cette loi constitue une étape importante dans la mise en œuvre de ce principe et pose les bases d'une nouvelle démocratie environnementale.


Elle assure, tout d'abord, la conformité à la Constitution des dispositions du code de l'environnement censurées par plusieurs décisions du Conseil constitutionnel rendues en application de la procédure des questions prioritaires de constitutionnalité entre juillet 2011 et novembre 2012.


Elle étend, ensuite, le champ d'application de ce principe puisque la loi est applicable immédiatement à toutes les décisions réglementaires et d'espèce de l'État y compris des autorités indépendantes comme l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et, à terme, aux décisions individuelles de l'Etat ainsi qu'aux décisions des collectivités locales.



Ces dernières ont été invitées à participer à une première réunion de concertation le 9 janvier 2013 au ministère de l'Écologie.


Elle rénove la procédure de participation par voie électronique déjà prévue par le code de l'environnement :



  • Pour prendre en compte la fracture numérique, les projets de décisions seront mis à la disposition du public par voie électronique et sur support papier, notamment dans les préfectures et les sous-préfectures selon des modalités à définir par décret.

  • Le public disposera de 21 jours minimum pour formuler ses observations.

  • La synthèse de toutes observations sera rendue publique à la fin du processus de consultation.


La loi prévoit en outre deux expérimentations :



  • La première porte sur le recours à des forums électroniques en ligne permettant au public d'avoir immédiatement accès aux observations déposées ;

  • La seconde porte sur la désignation de garant de la participation par la Commission nationale du débat public. Ces deux expérimentations dureront 18 mois et commenceront le 1er avril 2013.


Enfin, la loi pose les fondements législatifs du nouveau Conseil national de la transition écologique (CNTE)


Celui-ci est destiné à se substituer à l'actuel CNDDGE (Comité national du Développement durable et du Grenelle de l'environnement). Cette nouvelle instance de concertation sera obligatoirement consultée sur les projets de loi portant, à titre principal, sur l'environnement, la biodiversité et l'énergie. Sa composition sera fixée par un décret qui sera soumis à concertation dès le début du mois de janvier 2013.







Liaison Lyon-Turin : déclaration commune des ministres français et italien des transports



A l'occasion du 30e Sommet bilatéral franco-italien, lundi 3 décembre 2012, la France et l'Italie ont confirmé l'intérêt stratégique du projet de nouvelle liaison ferroviaire entre Lyon et Turin.



Les deux gouvernements soulignent la priorité absolue de cette infrastructure pour les deux pays mais également pour construire « l'Europe des transports » et protéger le secteur alpin. Cette liaison permettra le renforcement du Marché unique européen et la sécurisation des échanges transalpins.


La France et l'Italie souhaitent que le soutien financier de l'Union européenne puisse atteindre le niveau maximal prévu (50 % des études et travaux préparatoires et 40 % des travaux définitifs), et estiment que l'engagement financier de l'UE sur ces niveaux représente un élément décisif pour la réalisation du projet.


Les deux pays ont annoncé l'engagement des procédures pour le lancement du marché de réalisation des travaux de creusement de la galerie de reconnaissance de Saint-Martin-La-Porte. Pendant cette période préparatoire, ils demanderont à l'UE confirmation de sa participation au niveau attendu pour le projet.


Par ailleurs, l'achèvement des travaux de mise au gabarit du tunnel sur la ligne ferroviaire historique du Fréjus est une grande satisfaction pour les deux Etats qui souhaitent que le contrat pour le service définitif d'autoroute ferroviaire alpine puisse être signé avant l'été 2013.


Lire la déclaration commune des ministres français et italien des transports sur le Lyon/Turin.


En savoir plus sur la liaison Lyon-Turin ferroviaire .


En savoir plus sur l'autoroute ferroviaire alpine .







Tarifs règlementés du gaz

L'arrêté publié ce jour au Journal officiel, prévoit une augmentation moyenne de 2,4 % des tarifs règlementés du gaz de GDF Suez au 1er janvier 2013 pour les ménages.


- Tarifs réglementés du gaz


Les aéroports parisiens prêt à affronter les conditions hivernales



Frédéric Cuvillier s'est rendu, le 27 décembre, à l'aéroport Roissy – Charles de Gaulle, pour vérifier comment se passe cette période intense pour la plate-forme aéroportuaire, susceptible d'affronter des conditions hivernales en cette période des fêtes de fin d'année.




Fédéric Cuvillier visite le PC neige. Crédits photo : Arnaud Bouissou - MEDDE

Au cours de cette visite, le dispositif du service hivernal, les équipements de déneigement et de dégivrage des avions ont été présentés au Ministre des Transports. Frédéric Cuvillier a assuré, à cette occasion, que les aéroports parisiens étaient fin prêts pour faire face à un épisode neigeux comme il y a deux ans, lors d'une visite à Roissy-Charles de Gaulle.


Début décembre 2012, l'opérateur des aéroports parisiens, ADP avait présenté son "plan d'action" pour la saison hivernale 2012/2013. Celui-ci s'appuie sur 213 engins de déneigement et 2.940 mètres cubes de glycol, représentant "une autonomie de 10 jours d'opérations en cas de forte intensité hivernale". Cette entreprise dispose également de 18 aires de dégivrage avions à Roissy et de 50 dégivreuses opérationnelles. Enfin, 450 agents d'accueil sont mobilisés pour orienter et informer les passagers sur les vols en cas de besoin.







Le Père Noël a gâté Cha !

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Bonjour Lany, bonjour les sac-addicts! Alors voilà, comme promis, je partage avec vous mon dernier venu, le Dorothy de Nat et Nin, offert par mon chéri. C'est mon 3ème sac de cette marque et je dois dire que c'est toujours un plaisir, le cuir, les formes, les couleurs... (non non, je n'ai pas[...]


jeudi 27 décembre 2012

Les prévisions et conseils de Bison Futé du 28 décembre 2012 au 2 janvier 2013



Pour cette période située au milieu des congés scolaires, de nombreux déplacements sont attendus. Ils seront cependant plutôt bien répartis dans le temps.




Prévisions et conseils


La conduite en hiver peut s'avérer délicate lorsque la neige tombe ou que le verglas se forme sur les routes. Avant de conduire, il est impératif de s'informer sur les prévisions météorologiques, sur les conditions de circulation et sur l'état des routes : www.bison-fute.gouv.fr et www.meteofrance.fr En cas de vigilance météorologique rouge ou si la circulation est bloquée, NE PRENEZ PAS LA ROUTE.


* Consulter notre actualité "En route pour la viabilité hivernale


La nuit du Nouvel An ne connaît en principe pas de véritable problème de congestion malgré une circulation inhabituelle dans la nuit. C'est un moment potentiellement très accidentogène en raison de la fatigue liée aux sorties tardives qui succèdent aux festivités et dans un contexte climatique qui peut parfois s'avérer défavorable (pluies verglaçantes, neige, verglas).


Les recommandations habituelles sont plus que jamais de rigueur :




Choisir son Sam

« celui qui conduit est celui qui ne boit pas ».

De plus, ne laissons pas une personne qui a bu reprendre le volant. Quelques mots peuvent suffire à sauver une vie. Soyons tous responsables.




Généralités sur la période


Pour cette période située au milieu des congés scolaires, on attend de nombreux déplacements. Ils seront cependant plutôt bien répartis dans le temps.

Seules les rotations des locations en montagne qui se font traditionnellement le samedi provoqueront pour cette journée spécifique une concentration des flux de véhicules dans les vallées alpines.

Dans la nuit du lundi 31 décembre au mardi 1er janvier, la circulation connaît généralement quelques difficultés de circulation temporaires en début de soirée pour les trajets vers les lieux de festivités. Cette nuit est cependant très accidentogène en raison de la fatigue liée aux retours tardifs, après la fête.

Mercredi 2 janvier, la circulation sera dense en direction des grandes métropoles. C'est en Ile-de-France qu'on attend des ralentissements significatifs sur les axes convergeant vers Paris et sur les rocades autour de la ville.






Les conseils de circulation


samedi 29 décembre dans le sens des départs :



  • évitez de circuler sur les axes A31, A6, A46 et A43 en direction des Alpes de 10 heures à 18 heures.


mercredi 2 janvier dans le sens des retours :



  • évitez de regagner l'Ile-de-France entre 17 heures et 19 heures.









Les dispositifs d'information mis à disposition des automobilistes



  • Par Internet : www.bison-fute.gouv.fr

  • La fréquence radio FM 107.7

  • Le téléphone N°vert 0800 100 200 – appel gratuit depuis un poste fixe

  • Le téléphone depuis l'étranger : 00 33 892 68 78 88

  • Différentes sources d'information météorologique sont à votre disposition notamment sur Internet








L'extension des tarifs sociaux de l'électricité et du gaz entre en vigueur



Une première extension des tarifs sociaux de l'électricité et du gaz à 400 000 foyers modestes est entrée en vigueur, le 26 décembre 2012, avec la parution d'un arrêté au Journal officiel.




Cette mesure permet d'étendre les tarifs sociaux aux bénéficiaires de l'aide au paiement d'une assurance complémentaire de santé, dite ACS.


Crédits photo : PV - Fotolia.com

Le montant des ressources ouvrant droit à ces tarifs sociaux est, depuis le 5 août 2008, celui ouvrant droit à l'attribution de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMUC) soit 7 934 € par an pour une personne seule (661 € par mois). Celui-ci couvre environ 1,8 million d'ayants droits potentiels en ce qui concerne le tarif de première nécessité de l'électricité.


Cet arrêté propose de fixer le plafond de ressources correspondant à celui de la CMUC majoré de 35 %, soit 10 711 € par an pour une personne seule (893 € par mois). Environ 400 000 foyers (830 000 personnes) bénéficient aujourd'hui de l'ACS, qui s'ajoutent à ceux bénéficiant de la CMUC.


Les ménages bénéficient ainsi d'une aide d'environ 200 euros par an pour ceux qui se chauffent au gaz et de 90 euros par an pour ceux qui utilisent un autre moyen de chauffage, comme l'électricité.


Un objectif de 8 millions de personnes bénéficiaires des tarifs sociaux


Cet objectif, défini par le Premier ministre, soit environ 4 millions de foyers bénéficiaires des tarifs sociaux, nécessitera des mesures complémentaires. Ces dernières sont notamment prévues par la proposition de loi visant à préparer une transition vers un système énergétique sobre, actuellement en discussion devant le Parlement.






mercredi 26 décembre 2012

Blue but green



J'espère que vous avez passé un super Noël, que vous avez été gâtées et que vous vous êtes régalées ! On reprend en douceur les looks hivernaux avec ce petit look tout bleu eco-friendly ! En effet, je porte deux marques très engagées pour l'environnement : des boots Timberland fabriquées en[...]


mardi 25 décembre 2012

Vite, vite avant qu'il ne soit trop tard ...

<img class="imgExtraitCon" src="http://img.over-blog.com/100x100/1/38/63/31/blabla/2012/2012-20121225_112457.jpg" alt="" />

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Alors ? ... Qui a eu un sac ? J'espère que vous avez bien profité de vos proches, que vous avez bien mangé et bien bu (mais sans conduire après !!) et que vous avez été gatées. A bientôt pour de nouveaux déballages.


lundi 24 décembre 2012

★ Joyeux Noël ★



Cette année, pas de conte de Noël en vidéo (ici), mais un mini-post quand même pour vous souhaiter un joyeux noël ! Je vous souhaite de bons moments avec vos proches, un ventre bien rempli de bonnes choses et bien sûr, plein de cadeaux au pied du sapin ! Joyeux Noël et à très vite ! Photo :[...]


samedi 22 décembre 2012

Bagster Compass, version M et B selon vos besoins

Une version traditionnelle (B-Compass) et une seconde magnétique (M-Compass) pour cette nouveauté Bagster réalisée en nylon. Séparées en 3 parties les sacoches Compass feront de leur mieux pour vous faciliter la vie au quotidien. Une poche frontale transparente et amovible pour lire le GPS et 2 autres compartiments pour garder à portée de main...


vendredi 21 décembre 2012

Christmas Giveaway #5 Creativ'Style



On clotûre ce calendrier de l'avent avec un joli concours ambiance Noël kitsch assumée !! (Dernier concours avant Noël mais pas avant la fin de l'année, il me reste encore un joli cadeau à vous faire gagner... mais on verra ça en milieu de semaine prochaine pour celles qui seront au rendez-vous[...]


Conseil des ministres européens de la pêche : un accord équilibré a été trouvé



A l'issue du Conseil des ministres européens de la pêche des 18 et 19 décembre 2012, Fréderic Cuvillier salue l'accord équilibré qui a pu être trouvé sur les totaux admissibles de capture (TAC) et quotas 2013.




Chalutier (c) Laurent Mignaux/METL-MEDDE


Conformément à la demande de la France, cet accord permet de garantir la durabilité des stocks halieutiques en s'appuyant sur les avis scientifiques, tout en préservant l'activité économique des pêcheurs.


Les 27 Etats membres et la Commission sont donc parvenus à s'entendre, dans le respect des engagements pris lors du Conseil de juin dernier sur la réforme de la politique commune de la pêche, afin d'atteindre progressivement le rendement maximum durable.


En cherchant toujours à préserver leur durabilité, Frédéric Cuvillier a obtenu des totaux admissibles de capture (TAC) conformes aux tendances montrées par les travaux scientifiques et satisfaisants d'un point de vue socio-économiques : quotas en hausse ou stabilisés pour la plupart des stocks de mer du Nord, de la Manche, du golfe de Gascogne et de la mer celtique, quotas en baisse adaptée lorsque les experts scientifiques ont exprimé des inquiétudes sur l'état des stocks.



Après les avis scientifiques positifs ayant permis une hausse ciblée de quotas d'espèces d'eaux profondes au Conseil de novembre 2012, et le relèvement modéré de captures de thon rouge décidé lors des négociations de la CICTA en novembre à Agadir, ces décisions démontrent que la prise de conscience des professionnels du secteur de la pêche et les efforts qu'ils ont réalisés depuis plusieurs années portent leurs fruits.



« Ces accords constituent les bases pour qu'une pêche réellement durable, validée par des avis scientifiques incontestables, puisse être pratiquée par les pêcheurs au sein de l'Union européenne", indique Fréderic Cuvillier.







Les meilleurs magasins centenaires de Barcelone

Barcelone est une destination shopping par excellence. Si vous êtes venu ici pour profiter des magasins, pourquoi ne pas vous aventurer hors des rues principales et découvrir les anciennes boutiques de la ville ? Voici notre guide des plus vieux magasins indépendants et de ce qu’ils proposent.




Monétarisation des biens, services et impacts environnementaux


La troisième édition du séminaire sur la monétarisation des biens et services environnementaux s'est tenue le 13 décembre 2012 à la Défense, à l'initiative de la sous-direction ERNR.


Près de 150 personnes étaient présentes, issues des administrations, des établissements publics, de centres de recherche, ou encore de grandes entreprises ou de cabinets d'études.


A travers une quinzaine d'interventions, ce séminaire a examiné la question de l'utilisation des valeurs issues des méthodes de monétarisation dans les politiques publiques et les décisions des acteurs privés.


La monétarisation des externalités environnementales pour la comparaison des coûts et des bénéfices d'un projet est une pratique bien connue, mais la commission Quinet, qui remettra prochainement son rapport, a proposé plusieurs améliorations substantielles. L'éco-organisme COREPILE a quant à lui montré comment utiliser la monétarisation des impacts environnementaux des différentes piles pour moduler les niveaux de l'éco-contribution dues par les producteurs. Les exemples de Veolia, d'EDF ou des assureurs montrent que les acteurs privés s'emparent également de ces outils. Ces méthodes permettent donc de mieux intégrer les coûts environnementaux dans les choix des acteurs, mais elles doivent gagner en lisibilité et en robustesse pour que les décideurs se les approprient, comme l'a souligné en conclusion Michel Badré, président de l'Autorité environnementale.


Session 1 : L'évaluation économique des services écosystèmiques



Session 2 : Calcul socio-économique et décision publique



Session 3 : Evaluation et instruments économiques



Session 4 : Limites et complémentarités de l'évaluation économique







En route pour la viabilité hivernale !



Tous les ans, du 15 novembre au 15 mars, le dispositif hivernal routier appelé « viabilité hivernale » est mis en place sur l'ensemble du territoire. D'importants moyens humains et matériels sont déployés pour assurer la sécurité des usagers de la route. L'occasion de rappeler quelques règles de base pour bien circuler en hiver.




A l'approche de l'hiver, plusieurs dizaines de milliers d'agents de l'Etat, des collectivités territoriales et des sociétés d'autoroutes se mobilisent pour garantir des conditions de circulation optimales aux usagers.


La viabilité hivernale c'est...



...sur le réseau routier national géré par les directions interdépartementales des routes :



  • 6 000 agents mobilisables 24h/24 ;

  • 750 camions équipés de lames et de saleuses ;

  • 15 engins spéciaux de déneigement pour les routes de montagne traversant les Alpes, le Jura, le Massif Central et les Pyrénées.


sur le réseau routier national géré par les sociétés concessionnaires...



  • 4 000 agents mobilisables 24h/24 ;

  • plus de 1 200 camions équipés de lames et de saleuses ;

  • 120 000 à 190 000 tonnes de sel épandues chaque année selon la rigueur de l'hiver.


Entre 800 000 et 1,5 millions de tonnes de sel par an sont épandus sur l'ensemble du réseau routier national, départemental et communal.


Pour bien circuler en hiver nous avons tous un rôle à jouer


Quand les conditions climatiques hivernales rendent les routes difficilement praticables et particulièrement dangereuses, pour éviter tout accident ou pour éviter de rester bloqué sur un axe, mieux vaut être informé et préparé.


Des pneumatiques adaptés

Seuls éléments de contact entre le véhicule et la route les pneumatiques assurent plusieurs fonctions : la motricité, le maintien d'une trajectoire (tenue de route) et le freinage ; ceci à la condition de disposer d'une certaine adhérence.


Pour que l'adhérence soit conservée lors de conditions de conduite hivernale, il faut que le pneu soit constitué d'une nature de gomme restant souple à basse température, qu'il dispose de lamelles améliorant l'accrochage sur les surfaces glissantes et qu'il comporte des rainures larges et profondes permettant l'évacuation de l'eau et/ou de la neige.


Des équipements spécifiques pour la neige : les chaînes

Les chaînes sont des équipements obligatoires sur les sections de routes délimitées par le panneau « chaînes à neige obligatoires ». Elles permettent une meilleure adhérence sur la route. Les chaînes à neige sont obligatoires sur au moins deux roues motrices pour une voiture.






Ça sent le sapin…

Il y a des signes qui ne trompent pas…


C’est bientôt Noël !!

Et les vacances aussi :)



Nous vous souhaitons à tous de bonnes fêtes de fin d’année et vous donnons RDV début janvier pour une nouvelle année.

Et un nouvel eshop, vous l’aurez compris.


(oui oui elle radote… désolée…)





Dans le sac de Sorama ...

<img class="imgExtraitCon" src="http://img.over-blog.com/100x100/1/38/63/31/P-Q-R-S-T/2012/sorema12-1.jpg" alt="" />

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Je suis Sorama, ai 30 ans et vie à Bordeaux !!! Je sais que mon sac n'est pas des plus folichons. C'est un Roseau de Longchamp datant de 2007 si je n'abuse. Il n'est pas de la plus grande fraîcheur ni jeunesse mais c'est le premier sac que j'ai pu m'offrir avec mon premier "taff d'adulte". Il[...]


jeudi 20 décembre 2012

La qualité de l'accueil, un facteur essentiel d'une accessibilité réussie


La loi du 11 février 2005 prévoit la mise en accessibilité de tous les établissements recevant du public d'ici le 1er janvier 2015. A cet effet, la réglementation décline les règles techniques qui permettent l'autonomie de l'usager handicapé ou à mobilité réduite.


La mise en accessibilité du service délivré à l'usager s'appuie tant sur des travaux techniques que sur la qualité de l'accueil humain, ne serait-ce que pour aider les usagers à utiliser les équipements qui leur sont destinés. Le personnel d'accueil assure donc un rôle essentiel. Mais celui-ci peut avoir des craintes, par exemple d'être maladroits, vis-à-vis des usagers handicapés ou de manquer de savoir-faire.


Afin de répondre à ces préoccupations, la fédération des aveugles de France (FAF), avec l'institut Randstad et l'Alliance du commerce, a préparé un document intitulé "Accueillir une personne déficiente visuelle dans un lieu recevant du public - Guide à l'usage du personnel d'accueil".


Ce guide fournit de nombreux conseils qui permettent de mieux connaître les usagers et clients handicapés et leurs besoins. Il répond notamment aux questions suivantes :



  • Comment accueillir et se montrer disponible ?

  • Comment se comporter ?

  • Comment orienter une personne déficiente visuelle ?

  • Comment accueillir au restaurant ?

  • Comment accompagner lors des achats ?

  • Comment aider au paiement des achats ?

  • Comment accompagner lors des déplacements ?



Pour aller plus loin : consultez d'autres guides de savoir-vivre et de vivre ensemble ou d'autres documents spécifiques à l'accessibilité des commerces.






Un nouveau dispositif pour gérer les pics de consommation électrique



Delphine Batho a signé un décret visant à mettre en place le mécanisme de capacité pour le marché de l'électricité. Celui-ci doit permettre de garantir durablement la sécurité d'approvisionnement en électricité des Français, dans un contexte de hausse de la pointe de consommation.




Ce décret publié, hier, au Journal Officiel fixe un cadre général dont les règles seront précisées au deuxième semestre 2013 sur proposition de Réseau de transport d'électricité (RTE) et après avis de la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Ce texte vise à réduire la pointe électrique qui augmente environ de 3 % chaque année et qui a enregistré une hausse de 28 % en dix ans. En France, la pointe progresse d'ailleurs plus vite que la consommation électrique : elle augmente de 3 %, alors que, dans le même temps, la consommation électrique connaît une hausse de 0,6 %. Plusieurs raisons en sont à l'origine, notamment la place du chauffage électrique et le développement de nouveaux usages de l'électricité (équipements électroménagers, informatiques, recharges multiples). Il est donc nécessaire d'agir rapidement pour lutter contre ces pics de consommation qui coûtent cher et ont un impact environnemental au travers des augmentations d'émission de CO2.


Le dispositif du mécanisme de capacité :


Avec le mécanisme de capacité, les fournisseurs d'électricité devront désormais justifier, à compter de 2015, qu'ils sont en mesure de satisfaire la consommation de leurs clients à la pointe électrique. Pour cela, ils devront acquérir des « garanties de capacité » , ils peuvent ainsi :



  • utiliser les capacités qu'ils possèdent en tant qu'exploitants,

  • développer l'effacement de consommation,

  • acheter des garanties de capacité auprès des producteurs d'électricité ou d'effacement.


Le mécanisme de capacité apporte une rémunération complémentaire aux producteurs d'électricité pour la disponibilité de leurs centrales électriques, qui est au cœur de la sécurité d'approvisionnement


En donnant une valeur à la réduction de la consommation d'électricité en période de pointe, il stimule la réduction de la consommation d'électricité aux heures de pointes, grâce à l'effacement,. Un consommateur qui dispose d'une offre d'effacement se verra ainsi rémunéré pour le service qu'il apporte au système électrique.


Cliquer sur l'infographie "Le mécanisme de capacité " pour la visualiser :








Vademecum du parfait voyageur au départ de Genève Aéroport

Les périodes de vacances étant traditionnellement chargées, les passagers au départ de Genève sont invités à respecter quelques règles de base afin que leur voyage s’effectue dans les meilleures conditions. Petit rappel des bonnes pratiques...


mercredi 19 décembre 2012

Christmas Giveaway #4 BlackBerry x Gossip Girl



Il y a quelques temps, BlackBerry m'a proposé une mission : tester le temps d'un look inspiration Gossip Girl le nouveau BlackBerry Curve 9320 ! Pourquoi une telle mission ? C'est simple, pour Noël, BlackBerry offre un coffret DVD de la saison 5 de Gossip Girl pour tout achat d'un BlackBerry[...]


Contribution aux charges de service public de l'électricité

+ 1,2% en novembre pour les billets d'avion au départ de la France



Avec une progression de 1,2%, l'indice des prix du transport aérien de passagers au départ de France poursuit sa tendance à la hausse à un rythme moins soutenu que les mois précédents, un certain nombre de destinations affichant même des baisses de prix entre novembre 2011 et novembre 2012. Le mois de novembre correspond à une période de basse saison pour le transport aérien avant les fêtes de fin d'année, les prix étant globalement en baisse de 4,6% par rapport au mois d'octobre 2012.




En novembre 2012, les prix des voyages aériens au départ de France affichent une légère hausse, moins importante toutefois que les mois précédents, de 1,2% par rapport au mois de novembre 2011 et de 0,7% pour les seuls voyages au départ de métropole.

L'augmentation annuelle des prix est sensible pour les voyages vers l'outre-mer et dans une moindre mesure vers l'Amérique du Nord. En revanche, vers l'Afrique du Nord, le Moyen-Orient, les pays d'Europe hors EEE & Suisse et l'Asie-Pacifique, les prix diminuent entre novembre 2011 et novembre 2012.


Par rapport au mois d'octobre 2012, les prix des voyages aériens au départ de France sont globalement en baisse de 4,6%, caractérisant une période de basse saison pour le transport aérien malgré le prolongement des vacances scolaires cette année jusqu'au 11 novembre.


Consulter les données détaillées de l'indice des prix de septembre 2012






10 lieux où vivre la fin du monde


Vous souhaitez vivre la fin du monde à fond, assistez au spectacle aux premières loges... Ou au contraire, vous préféreriez plutôt l'éviter. Voici les 10 lieux où il faut être vendredi 21 décembre prochain. Sélection





Les suites de la conférence de Doha sur le changement climatique

Le Conseil des ministres de l'UE en charge de l'Environnement et du Climat s'est tenu le 17 décembre 2012 à Bruxelles, sous Présidence chypriote. La France était représentée par Delphine Batho. Les ministres de l'UE ont dressé le bilan et évoqué les suites de la conférence de Doha sur le changement climatique. La Ministre a souligné la modestie des résultats obtenus à Doha, malgré l'engagement de l'Union Européenne dans une seconde période du Protocole de Kyoto. Elle a souligné le besoin de renforcer l'ambition et de se tourner dès à présent vers la recherche d'un accord en 2015, dont les bases devront être posées à Varsovie en 2013. La France souhaite également que l'Union européenne se fixe d'ores et déjà des objectifs climat ambitieux pour 2030 et 2040, comme l'avait indiqué le Président de la République lors de la Conférence environnementale.


- En direct de Doha


Conseil environnement du 17 décembre 2012


Le Conseil des ministres de l'UE en charge de l'Environnement et du Climat s'est tenu le 17 décembre 2012 à Bruxelles, sous Présidence chypriote. La France était représentée par Mme Delphine Batho. Les ministres de l'UE ont dressé le bilan et évoqué les suites de la conférence de Doha sur le changement climatique.




La Ministre a souligné la modestie des résultats obtenus à Doha, malgré l'engagement de l'Union Européenne dans une seconde période du Protocole de Kyoto. Elle a souligné le besoin de renforcer l'ambition et de se tourner dès à présent vers la recherche d'un accord en 2015, dont les bases devront être posées à Varsovie en 2013. La France souhaite également que l'Union européenne se fixe d'ores et déjà des objectifs climat ambitieux pour 2030 et 2040, comme l'avait indiqué le Président de la République lors de la Conférence environnementale.


Le Conseil a été l'occasion d'affirmer la place de la croissance verte dans les politiques économiques nationales et européennes (à travers l'instrument du « semestre européen »). La Ministre a insisté sur les effets de levier sur la croissance et l'emploi qui peuvent être retirés des politiques environnementales dans un contexte difficile pour l'économie européenne. Quatre domaines sont prioritaires : l'efficacité et la sobriété énergétiques ; le développement de filières industrielles des énergies renouvelables ; l'économie circulaire et le recyclage ; le génie écologique lié à la restauration des milieux. Face au manque structurel de financements en faveur de la transition écologique, il faut mobiliser les fonds européens, la fiscalité écologique, mais aussi les financements innovants et orienter les financements privés au travers de la RSE. Pour limiter les « fuites de carbone », il faut reprendre la réflexion sur un mécanisme d'inclusion carbone. Enfin, de nouveaux indicateurs doivent être élaborés pour la croissance verte. La France en établira d'ici la fin du premier trimestre 2013.


Le Conseil a également examiné le projet de 7ème Programme d'Actions pour l'Environnement (7ème PAE), qui constituera la feuille de route stratégique pour l'ensemble des politiques environnementales européennes jusqu'en 2020, en matière de climat, de biodiversité, d'eau, d'environnement marin, de qualité de l'air, de gestion des risques associés aux produits chimiques ou encore de gestion des déchets. La France s'est en particulier félicitée de l'inscription d'un objectif prioritaire sur les risques sanitaires environnementaux et d'un volet international comprenant la mise en œuvre des objectifs de Rio+20.


Des conclusions du Conseil sur le plan de sauvegarde des eaux européennes (Blueprint), récemment publié par la Commission, ont été adoptées par les ministres. Le plan d'actions se fonde sur un bilan de la mise en œuvre de la Directive cadre sur l'eau de 2000 (DCE) et propose des actions pour améliorer la mise en œuvre des législations existantes.


Enfin, la Présidence chypriote a donné des informations sur les principales négociations en cours, dont la refonte de la directive sur les études d'impact environnemental, les règlements pour la réduction des émissions de CO2 des voitures et des camionnettes et les modifications envisagées du système européen d'échanges de quotas d'émissions de CO2 (EU ETS).







Signalétique et pictogrammes : préconisations à l'usage des professionnels


L'accès à l'information est une composante essentielle de la politique d'accessibilité du cadre de vie voulue par le législateur. Ainsi l'arrêté du 1er août 2006 relatif à l'accessibilité des établissements recevant du public précise que les informations fournies aux visiteurs par le moyen d'une signalisation visuelle ou sonore doivent "pouvoir être reçues et interprétées par un visiteur handicapé" et que les éléments de signalisation doivent être "visibles", "lisibles" par tous et "compréhensibles" notamment par les personnes atteintes de déficience mentale.


Lorsqu'elles se déplacent sur un site, les personnes handicapées mentales rencontrent fréquemment différents obstacles : absence d'homogénéité quant à l'utilisation des pictogrammes et de la signalétique, rupture de la chaine de déplacement, dimension artistique des pictogrammes, localisation du plan et de la signalétique, compréhension de l'information, etc.


Afin d'aider les maîtres d'ouvrage et leurs maîtres d'oeuvre à traduire de manière opérationnelle les objectifs d'accessibilité de la réglementation, l'Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis (UNAPEI) a un guide pratique à leur attention, centré sur d'une part l'élaboration et la mise en oeuvre de la signalétique et d'autre part l'utilisation des pictogrammes.



Retrouverez tous les guides pratiques relatifs à la signalétique dans la rubrique éponyme.






Le sac de Mélanie ...

<img class="imgExtraitCon" src="http://img.over-blog.com/100x100/1/38/63/31/K-L-M-N-O/2012/melanie-dec12-4.JPG" alt="" />

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Bonjour je reviens de nouveau, pour mon deuxiéme déballage voici mon sac lancaster et mon organisateur de sac. Dedans il y a : 1) mes stylos 2) le portefeuille de mon chéri et le miens 3) mon bloc note (marron),mes papiers de pharmacie (vert) et les lunettes 3D 4) les petits sac (trop pratique)[...]


mardi 18 décembre 2012

Installation du Comité pour la fiscalité écologique



Installation du Comité pour la fiscalité écologique, présidé par Christian de Perthuis et mis en place conjointement par le ministère de l'Économie et des Finances et le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie.




Introduction de Delphine Batho,

Ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de Energie






"Monsieur le Président,

Mesdames et Messieurs,



En vous invitant à vous retrouver aujourd'hui, le Gouvernement tient l'engagement qu'il avait pris en septembre dernier lors de la Conférence environnementale, concernant l'instauration avant la fin de l'année d'un dispositif permanent de concertation sur la fiscalité écologique.



Notre réunion d'aujourd'hui concrétise surtout l'ambition plusieurs fois affirmée par le Président de la République et le Gouvernement de développer une nouvelle fiscalité écologique. Nous lui avions consacré une table ronde lors de la Conférence environnementale, le Gouvernement en a fait une des composantes du Pacte pour la compétitivité et l'emploi, et le Président de la République a récemment confirmé qu'une première série de propositions devraient lui être faites au printemps 2013.



Je suis heureuse d'installer ce comité aux côtés de Rémy Rioux, directeur de cabinet de Pierre Moscovici, qui souhaitait être présent ce matin, mais qui est retenu à Matignon. L'engagement du ministre de l'économie et des finances, de « Bercy », aux côtés du ministère de l'écologie, est une des conditions de la réussite de nos travaux en matière de fiscalité écologique. Ce travail collectif est indispensable pour que les mesures que nous allons élaborer répondent aux enjeux de la transition écologique et s'inscrivent pleinement dans notre trajectoire de finances publiques et de réforme des prélèvements obligatoires.



Je remercie à nouveau Christian de Perthuis d'avoir accepté de présider vos futurs travaux. Grâce à sa précieuse expérience, il sait mieux que quiconque à quel point la mission qui lui est confiée, qui vous est confiée, est difficile.



La fiscalité écologique est en effet victime d'un paradoxe. Spontanément, sa vocation environnementale suscite la sympathie de nos concitoyens. Pourtant, les tentatives successives d'instaurer des prélèvements environnementaux ont été laborieuses, quand elles n'ont pas échoué purement et simplement. L'échec de la taxe carbone et sa censure par le Conseil constitutionnel a été sans doute le plus retentissant. Cet échec avait des causes profondes dont il faut tirer toutes les leçons.



Trois idées fortes me tiennent à cœur pour lancer ce processus sur des bases solides, et durables, afin d'aboutir à la mise en œuvre d'une véritable fiscalité écologique.



  • Première idée : la fiscalité écologique est un moyen, elle n'est pas une fin en soi. L'écologie n'est pas ici un habillage pour servir de prétexte à je ne sais quelle hausse de la fiscalité dans un contexte éminemment exigeant pour le redressement des finances publiques. La légitimité de la fiscalité écologique tient à son fondement même qui est de lutter contre les pollutions et les nuisances et de financer la transition écologique et énergétique. Celle-ci nécessite des investissements importants de la Nation. Je suis convaincue qu'un lien aussi concret et direct que possible entre l'affectation du produit de cette fiscalité et l'action environnementale est nécessaire pour convaincre nos concitoyens de son bien-fondé. Vos travaux devront donc partir de cette recherche d'efficacité et de légitimité : de quels financements a-t-on besoin pour la transition écologique ? Quelles sont les pollutions qui échappent aujourd'hui au principe du pollueur-payeur ? La fiscalité écologique ne doit jamais s'éloigner de sa raison d'être. Des articulations devront nécessairement être trouvées à ce titre entre vos travaux et le débat national sur la transition énergétique qui vient de s'engager.



  • Deuxième idée, que beaucoup d'entre vous ont évoquée à la Conférence environnementale : vos propositions devront en permanence être passées au crible de 3 critères : l'efficacité écologique, l'impact économique, le respect de la justice sociale



    L'impact que cette fiscalité peut avoir sur le pouvoir d'achat des ménages et sur la compétitivité des entreprises les plus exposées à la concurrence internationale ne peut, ni ne doit être passé sous silence. Ce sera au contraire un aspect essentiel de vos travaux que d'examiner lucidement les impacts et de chercher à y remédier. Nous ne réussirons que si nous parvenons à résoudre cette quadrature du cercle pour démontrer aux Français que la fiscalité écologique n'est pas l'antithèse de la justice sociale et du redressement productif, mais bien l'instrument de leur réalisation. Sans doute il sera difficile de construire des solutions parfaites. Mais nous devons essayer. Une fiscalité environnementale juste, envoyant un signal-prix clair, progressif et acceptable est un levier puissant de réorientation de l'appareil productif et de réduction de notre vulnérabilité à la raréfaction des ressources.



  • Troisième idée force : la nécessité d'une vision globale et d'ensemble. Vos travaux doivent contribuer à définir une trajectoire globale et cohérente de montée en puissance de la fiscalité écologique, clairement inscrite dans la réforme fiscale voulue par le Gouvernement pour le redressement dans la justice. Nous ne convaincrons personne si nous empilons les mesures au gré des lois de finances, sans expliquer dans quelle direction nous allons. La France est avant-dernière en Europe en matière de fiscalité environnementale. C'est dire si nous avons des marges de progression très grandes ! Mais nous attendons de vous, pas seulement la proposition ou l'énoncé de telle ou telle mesure, mais une vision d'ensemble, une stratégie qui puisse s'inscrire dans la durée, d'où le fait d'ailleurs que ce groupe soit permanent.


Mesdames, Messieurs,



L'enjeu de vos travaux – le plus important sans doute – est de construire ensemble un consensus durable autour de la fiscalité écologique. C'est la vocation principale de ce comité, dont la composition doit refléter la diversité des points de vue pour permettre leur expression, et enrichir la réflexion. Il rassemble les représentants des salariés, des employeurs, des ONG, des consommateurs, des élus locaux, des parlementaires.



Je l'ai dit, le Président de la République attend des propositions au printemps, mais ce comité est pérenne et a vocation à contribuer sur la durée aux réflexions et travaux du Gouvernement. Conformément à la feuille de route pour la transition écologique, votre rôle sera non seulement de rendre un avis sur des propositions de mesures élaborées par nos ministères, mais aussi de formuler des propositions et des recommandations. Ensuite viendra le temps des arbitrages gouvernementaux et de la délibération souveraine du Parlement. C'est là, en cette matière comme dans d'autres, plus encore que dans d'autres, un choix revendiqué du Gouvernement que de s'appuyer sur votre expertise et sur la concertation pour guider la décision publique.



Il vous appartiendra également d'inscrire vos travaux dans une perspective internationale, en vous inspirant des expériences étrangères réussies, et d'évaluer a posteriori les dispositifs mis en œuvre.



Pour ce faire, vous bénéficierez de l'appui du Commissariat général au développement durable et de la Direction de la législation fiscale, dont je salue les représentants. Le concours de ces administrations de haut niveau garantira à la fois le sérieux des études d'impact économique, écologique et social des mesures étudiées et leur robustesse juridique et technique.



Christian de Perthuis a également souhaité s'entourer d'experts issus du monde universitaire pour faire bénéficier votre comité d'une analyse complémentaire à celle des services de l'Etat et à votre expertise à chacun d'entre vous. Je voudrais les remercier, comme je remercie Christian de Perthuis, d'apporter leur concours à ces réflexions.



Je conclurai en saluant votre engagement. Je sais aussi la disponibilité, la mobilisation que le fonctionnement de ce type d'instance requiert de votre part. Et je sais aussi pouvoir compter sur votre état d'esprit constructif et votre contribution, utiles aux travaux. "






L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a publié son rapport 2012 sur les perspectives énergétiques mondiales


L'AIE a publié le 12 novembre 2012 la nouvelle édition du rapport World Energy Outlook (WEO). Ce rapport annuel présente en plus de 500 pages différents scénarios de politiques énergétiques jusqu'en 2035, permettant d'analyser les grandes évolutions énergétiques en cours ou à venir, et les enjeux et les limites du point de vue de la lutte contre le changement climatique. L'AIE met ainsi à jour ses scénarios et apporte des éclairages sur plusieurs déterminants du système énergétique mondial.




Le WEO est un document de référence pour analyser les tendances énergétiques et les impacts des politiques menées. Il confronte le scénario central « nouvelles politiques » qui tient compte des engagements en matière de réduction des gaz à effet de serre, notamment suite aux accords de Cancun, avec le scénario tendanciel « politiques actuelles », qui décrit l'évolution des marchés mondiaux de l'énergie, en prenant en compte uniquement les politiques en vigueur mi-2012. Le WEO développe un troisième scénario « 450 ppm » proposant une évolution du système énergétique mondial, qui permettrait de faire diminuer les émissions de CO2 liées à la combustion énergétique, afin de limiter le réchauffement climatique à 2°C (par rapport à l'ère pré-industrielle).


Le WEO apporte des éclairages sur plusieurs déterminants du système énergétique mondial. Plusieurs thèmes sont l'objet d'un focus dans l'édition 2012 :


  • l'efficacité énergétique, avec le développement d'un scénario « monde efficace », permettant de constater les bénéfices en termes de réduction de la consommation énergétique et d'émission de gaz à effet de serre ;

  • l'Irak, appelé à devenir un pays clef dans l'équilibre du marché pétrolier mondial, qui a fait l'objet d'une conférence conjointe AIE-DGEC-IFRI le 26 octobre 2012 ;

  • les enjeux concernant l'eau dans la production énergétique ;

  • l'accès universel à des services énergétiques modernes en 2030.


Le WEO 2012 met notamment en évidence :


  • la forte croissance des besoins énergétiques, tirée par la croissance de la demande des pays émergents ;

  • la place prédominante, bien qu'en diminution, des énergies fossiles dans la satisfaction des besoins énergétiques mondiaux, avec un rôle important du charbon et du gaz pour la génération électrique, et un rôle prédominant du pétrole dans le secteur des transports ;

  • le rôle croissant des énergies renouvelables, qui ne deviendraient toutefois majoritaires dans la génération électrique que dans le cadre d'une politique de décarbonation volontariste (scénario « 450 ppm ») ;

  • la contribution essentielle des ressources non conventionnelles dans le développement de la production pétrolière et gazière, avec en particulier, la nouvelle donne que cela représente pour les Etats-Unis, qui pourraient provisoirement devenir le premier producteur mondial de pétrole à l'horizon 2017-2020 ;


le levier indispensable que représente l'efficacité énergétique dans la réduction de la consommation et des émissions de CO2, en particulier d'ici 2020, et dont le potentiel d'économie reste encore largement sous-exploité dans le cadre des nouvelles politiques.


Le nom de ce scénario trouve son origine dans le fait que selon le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) une limitation de la concentration en gaz à effet de serre dans l'atmosphère à environ 450 parties par million d'ici 2050, limiterait à 2°C la hausse de la température moyenne globale de la Terre à cet horizon de temps.






23 acteurs s'engagent en faveur de la biodiversité



Cette année, 22 engagements ont été reconnus "SNB" par le Comité de suivi de la stratégie nationale pour la biodiversité. Cet évènement constitue l'occasion de revenir sur les 23 acteurs qui ont porté ces projets ainsi que sur l'engagement de la société en faveur de la biodiversité.




22 engagements reconnus SNB par le comité


En 2012, le comité de suivi de la stratégie nationale pour la biodiversité a attribué le statut « d'engagement reconnu SNB » à 22 projets portés par 23 acteurs (Les 22 engagements reconnus SNB 2012), très différents par leur taille, leur statut (entreprises, associations, collectivités, syndicats,…) et la nature de leur activité.



Le séminaire « le temps de l'engagement pour la biodiversité », qui s'est déroulé au Conseil économique social et environnemental le 17 décembre, a permis de valoriser ces 22 engagements.



Découvrir les vidéos des lauréats reconnus SNB 2012 :



Comment contribuer à préserver la biodiversité ?


Intervention de Gilles Boeuf, président du Muséum National d'Histoire Naturelle lors du séminaire. Crédits photo : MEDDE-METL


La Stratégie nationale pour la biodiversité (SNB) 2011-2020 a mis en place un cadre cohérent qui permet à tous les acteurs, publics et privés, aux différents niveaux territoriaux et dans tous les secteurs d'activités, de contribuer à la préservation de la biodiversité sur une base volontaire.



Le mécanisme de mobilisation associé à la stratégie comprend deux étapes. Tous les acteurs sont d'abord invités à signer « l'adhésion à la SNB » pour manifester leur intérêt, valoriser et faire connaître la SNB. Chaque adhérent est ensuite appelé à s'engager dans l'action au travers d'un « engagement volontaire ». Après analyse, un engagement volontaire peut être « reconnu SNB » par le comité national de révision de la SNB. S'il est « reconnu SNB », l'engagement fait l'objet d'une valorisation et d'une communication nationale.









lundi 17 décembre 2012

Christmas Giveaway #3 Justine Clenquet



Dans une semaine tout pile on sera au pied du sapin en train de déballer nos cadeaux comme des gosses ! Du coup, pas le temps de traîner, avec le mariage et la mini-honeymoon j'ai pris pas mal de retard et il va falloir intensifier le programme si je veux que mes concours de Noël aient lieu[...]


Drôle de cuisine !


L'Internaute.com vous propose de voter et d'élire le plat le plus étrange du monde ! Cubes de requins faisandés, du fromage sarde aux asticots, cochon d'Inde rôti ou soupe de tortue, à vous de choisir... Sélection





dimanche 16 décembre 2012

#OOTN #BestNightEver ASOS



Entre les photos de mariage, les concours de Noël et les looks de vacances, je vous avais promis de vous montrer en décembre quelques tenues de soirée, en prévision des veillées de Noël et du Nouvel An. Aujourd'hui, pour le troisième "Outfit of the Night" de cette série, c'est ASOS qui m'a[...]


Dans la vie, il y a les sacs ... Et les bracelets !

<img class="imgExtraitCon" src="http://img.over-blog.com/100x100/1/38/63/31/blabla/2012/P1280641.JPG" alt="" />

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bon les chaussures aussi Bon sérieusement, aujourd'hui je vais vous raconter ma life ... oops, j'ai perdu 25% de mon audience ... Chez moi la partie du corps la plus accessoirisée se place entre mon coude et mon sac à main ... z'avez vu, je vous cause quand même de sac à main ... des bagues, du[...]


samedi 15 décembre 2012

My wedding dress !



Comme promis, voici aujourd'hui une première série de photos de mon mariage civil qui a eu lieu il y a 2 semaines tout pile ! Cette première série est consacrée uniquement à ma tenue de mariée, qui j'espère vous plaira autant qu'à moi ! Je n'avais jamais réfléchi sérieusement à ce que j'aurais[...]


Intervention de Delphine Batho lors de la Conférence ministérielle sur la sûreté nucléaire au Japon



Dans le prolongement du plan d'action pour le renforcement de la sûreté nucléaire décidé par les états membres de l'AIEA, le Japon et l'AIEA organisent du 15 au 17 décembre la Conférence Ministérielle de Fukushima sur la sûreté nucléaire.


Discours de Delphine Batho, le 15 décembre 2012, à Koriyama (Fukushima)


Monsieur le Directeur Général de l'AIEA,

Messieurs les co-présidents ministres du Japon et de la Malaisie,

Mesdames et Messieurs les Ministres,

Mesdames et Messieurs les Présidents d'autorité de sûreté,

Mesdames et Messieurs,





Je suis très honorée de participer à cette conférence sur la sûreté nucléaire organisée ici au Japon par l'AIEA et le gouvernement Japonais.



Après le tremblement de terre et le tsunami qui ont conduit à la catastrophe de Fukushima Dai-ichi, la communauté internationale s'est rassemblée autour de deux objectifs communs : aider le Japon à surmonter cette terrible épreuve et ses conséquences et apporter toute notre solidarité au peuple Japonais, mais aussi analyser les causes de cet accident nucléaire pour en tirer toutes les leçons et éviter qu'une telle catastrophe puisse se reproduire.



La catastrophe de Fukushima doit conduire à une révision des pratiques et des doctrines. Toutes les leçons doivent être tirées, de façon approfondie et dans la durée. Ces leçons, ce ne sont pas seulement celles que nous avons pu identifier immédiatement après la catastrophe, mais également celles que nous continuerons à tirer dans les dix prochaines années.



Cette conférence, que je remercie le gouvernement japonais et l'AIEA d'avoir organisée, s'inscrit dans cette volonté internationale constante qui doit conduire à l'élévation continue des normes de sûreté nucléaire.



La France est engagée dans une politique de transition énergétique pour développer les énergies renouvelables en complément du nucléaire dont la part dans la production d'électricité va être ramenée à 50% en 2025. Il s'agit de diversifier nos sources d'énergies en donnant la priorité à la lutte contre le réchauffement climatique pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles. En même temps que nous allons développer les énergies renouvelables, le nucléaire est une énergie décarbonnée dont notre pays continuera d'avoir besoin. Pour notre pays, où 75% de l'électricité produite actuellement provient du nucléaire, la sûreté n'est pas une option d'ajustement, c'est un impératif absolu.



C'est pourquoi la France souhaite partager son expérience et ses réflexions pour contribuer à l'élévation des standards mondiaux en matière de sûreté.



Le premier enseignement de la catastrophe de Fukushima est la nécessaire révision des critères de sûreté pour intégrer les situations extrêmes et revoir les référentiels.



C'est le sens des stress-tests et des évaluations complémentaires de sûreté qui ont été réalisés en Europe. Il s'agit d'un exercice inédit et d'un effort sans précédent. Les stress-tests ont été une réponse volontaire de l'Europe. Tous les résultats de ces évaluations ont été rendus publics. Aucune centrale n'a été fermée à l'issue des stress-tests, mais ils ont été l'occasion de décider de travaux pour améliorer encore les marges de sûreté des centrales.



En France, l'Autorité de Sûreté Nucléaire a prescrit une réévaluation des référentiels de sûreté reposant sur le concept de « noyau dur » et la robustesse face aux situations extrêmes.



Enfin, parce que la sûreté nucléaire repose aussi sur les hommes, l'ASN a étendu les cahiers des charges de sûreté aux facteurs socio-organisationnels et humains.



Un autre enseignement de la catastrophe de Fukushima est le nécessaire renforcement du cadre international. La réunion extraordinaire de la Convention sur la sûreté nucléaire a permis d'engager plusieurs avancées importantes en matière d'efficacité de la Convention. Ainsi, les États doivent désormais préciser dans leurs rapports nationaux la manière dont les normes de sûreté de l'AIEA sont prises en compte. Par ailleurs, le contenu des rapports nationaux a encore été complété.



Des progrès ont été amorcés, mais nous pouvons et nous devons encore faire mieux. Ce n'est plus une obligation de moyens que nous devons satisfaire, mais une obligation de résultats. Cette obligation de résultats nous devrons chercher à l'atteindre en avril 2014 lors la revue d'examen de la Convention relative à la Sûreté Nucléaire.



Deux éléments, pour lesquels l'AIEA aura un rôle central à jouer, sont à distinguer : les normes de sûreté appliquées et la promotion d'un cadre et d'une culture de sûreté internationale de haut niveau.



Concernant les normes appliquées, le travail d'actualisation des normes développées par l'AIEA devra prendre en compte les enseignements de Fukushima, en particulier concernant les objectifs de sûreté minimaux des nouveaux réacteurs. La France, pour sa part, a d'ores et déjà pris la décision de ne proposer que des réacteurs de 3e génération intégrant le retour d'expérience de Fukushima.



Choisir le nucléaire, c'est prendre une responsabilité de long terme. C'est également accepter de ne pas rester seul face à cette responsabilité, car si la responsabilité de la sûreté nucléaire est une compétence nationale, elle est également une préoccupation collective.



La France considère à ce titre qu'une plus grande transparence et un renforcement des examens internationaux par les pairs sont, avec la stricte indépendance des autorités de sûreté, des fondamentaux indispensables à l'amélioration continue de la sûreté.

Je voudrais saisir l'opportunité de cette conférence ministérielle pour vous présenter les propositions françaises dans cette perspective.



Première proposition : Pour renforcer la transparence, chacun de nous devrait rendre public le tableau de suivi des actions de la mise en œuvre du plan d'action sur la sûreté de l'AIEA.



Pourquoi la France soutient-elle cette proposition ? Parce que nous considérons que la transparence est un aiguillon vertueux qui nous oblige à la rigueur et nous soumet à l'aune critique utile.



La France applique déjà ce principe. L'ensemble de ces documents sont ainsi publiés et libres d'accès sur le site internet de l'ASN, notamment les documents relatifs aux évaluations complémentaires de sûreté et les rapports des revues par les pairs.



Ces règles volontaires que la France s'impose au-delà des exigences internationales peuvent être considérées comme des contraintes ou des atteintes à la souveraineté de l'État. Nous ne les considérons pas ainsi. Nous les jugeons indispensables pour que nos concitoyens bénéficient d'un des parcs électronucléaires les plus sûrs.



L'adoption par consensus en septembre 2011 du plan d'action de l'AIEA traduit l'engagement de l'ensemble de la communauté internationale à prendre les mesures nécessaires. Ainsi, la France rendra public aujourd'hui sur le site internet de mon ministère le tableau de suivi des actions menées pour appliquer le plan d'action de l'AIEA.


>> Télécharger le tableau de suivi (.pdf)


Deuxième proposition : Rendre obligatoires les revues par les pairs (IRRS, OSART) et dans un premier temps former un groupe de pays volontaires qui seraient d'accord pour s'engager sur cette obligation.



L'examen réciproque de la sûreté est nécessaire à chacun d'entre nous car un regard extérieur est toujours un facteur de progrès. Nous souhaitons nous engager à accueillir régulièrement des revues par les pairs, portant sur le cadre réglementaire de sûreté (IRRS : « integrated regulatory review service »), nos installations nucléaires (OSART : « operational safety review team »), ou, pour les pays souhaitant mettre en service leur première centrale, sur leurs infrastructures (INIR : « integrated nuclear infrastructure review »),. La revue par les pairs nous permet de comparer nos pratiques avec l'expérience cumulée des autres pays et d'en bénéficier.



C'est pour cela que la France accueille chaque année sur son territoire une mission OSART. En 2013, après la revue prévue sur la centrale de Chooz, chaque réacteur français de puissance aura fait l'objet d'une OSART. C'est pour cela que la France, qui a déjà accueilli une mission IRRS en 2006 et sa mission de suivi en 2009, accueillera en 2014 une seconde revue.



Troisième proposition : la création d'une force d'action rapide à l'échelle internationale en cas de crise.



Améliorer la sûreté c'est également se préparer à l'éventualité d'un accident, aussi faible qu'en soit la probabilité. L'assistance internationale sous l'égide de l'AIEA et la mise en place de mécanismes d'intervention rapide doivent se décliner à plusieurs niveaux. Au niveau national, cela se traduit en France par la constitution de forces d'action rapide mobiles capables d'être déployées en moins de 24h sur site.

Nous nous sommes engagés avec le Royaume-Uni dans une démarche bilatérale, dont les enseignements pourraient, le moment venu, bénéficier au dispositif d'assistance internationale en cours de renforcement à l'AIEA.



Au niveau international, les pays qui ont développé ce type de dispositif au niveau national pourraient se coordonner afin d'organiser en commun des exercices permettant de rendre opérationnelle une capacité de réaction internationale.



Quatrième proposition : Aller vers un régime mondial de responsabilité civile nucléaire



L'accident de Fukushima Dai-ichi a montré l'importance qu'il y avait pour un pays victime d'un accident nucléaire et, plus largement, pour l'ensemble de la communauté internationale, de disposer d'un régime adéquat de responsabilité civile nucléaire pour assurer aux populations concernées qu'elles bénéficieront, dans des conditions de mise en œuvre simples, de réparations équitables et garanties.



Aujourd'hui, seule la moitié des pays faisant appel à l'énergie nucléaire pour leur approvisionnement national ont adhéré à un régime international de responsabilité civile nucléaire. Face à ce constat, la France promeut l'adhésion la plus large aux conventions pertinentes comme les Conventions de Paris ou de Vienne révisées, ou encore, lorsqu'elle sera entrée en vigueur, la Convention sur la réparation complémentaire via les conventions de base existantes. Le protocole commun aux conventions de Paris et de Vienne est en cours de ratification parlementaire en France.



L'établissement d'un régime mondial de responsabilité civile nucléaire reste un objectif majeur du Plan d'actions de l'AIEA sur la sûreté nucléaire. Pour notre part nous avons commencé à explorer les modalités de convergences possibles avec nos partenaires américains.



Mesdames, Messieurs,

il y aura un avant et un après Fukushima.



Rigueur, indépendance, transparence, persévérance seront nécessaires pour que nous tirions tous les enseignements de cette catastrophe, pour que nous nous les appropriions et pour que nous les déclinions dans nos pratiques pour faire progresser la sûreté nucléaire.



Ne nous dissimulons pas le risque que, le temps passant, le sentiment de la nécessité d'agir pour améliorer la sûreté ne s'atténue progressivement.



C'est pourquoi je voudrais profiter de cette conférence pour annoncer ma volonté de réunir dans les mois prochains tous les pays qui souhaitent s'engager sur les standards et les pratiques les plus ambitieux en matière de sûreté nucléaire.



Les pays volontaires pour agir sur la base de deux engagements principaux, que j'ai déjà évoqués, en particulier pour prendre l'engagement d'accueillir régulièrement des revues par les pairs et leur donner la publicité appropriée, doivent aller de l'avant.



La France est déterminée à soutenir les efforts de l'AIEA et toutes les initiatives qui pourront être prises pour faire progresser la sûreté nucléaire dans le monde.





  • Télécharger le discours de Delphine Batho (.pdf)

  • Le tableau des actions menées par la France. L'adoption par consensus en septembre 2011 du plan d'action de l'AIEA est l'engagement de la communauté internationale à prendre les mesures nécessaires pour renforcer la sûreté nucléaire dans le monde, en tirant toutes les leçons de l'accident à la centrale de Fukushima Dai-ichi.

    La mise en œuvre du plan d'action relève de la responsabilité de l'AIEA, mais aussi de chacun de ses Etats membres. La France entend assumer toutes ses responsabilités pour l'application de ces conventions et des principes qu'elles établissent, et travailler avec ses partenaires pour que le cadre international de sûreté soit effectivement renforcé.

    La France a décidé de rendre publique cette synthèse des actions menées et présentées ci-après selon la structure et au regard des douze thèmes identifiés dans le plan d'action sur la sûreté nucléaire de l'AIEA.

    >> Télécharger le tableau de suivi