Après une cérémonie d'ouverture marquée par de nombreuses interventions rappelant l'urgence à agir, les délégués se sont réunis lundi 26 novembre dans les 2 grandes salles de plénière pour participer à l'ouverture de 4 des 7 grands organes qui se réuniront à Doha.
Le vice-ministre du Qatar a été élu lundi président de la conférence, sous les acclamations, afin de succéder à la ministre des affaires étrangères d'Afrique du sud, pays hôte de la dernière conférence.
Cette élection a été suivie par les déclarations liminaires des grands groupes de pays : G77 et Chine, groupe d'intégrité environnementale, groupe de l'Ombrelle, Union européenne, Arabie, Afrique...
Optimisme et crainte à la fois dans ces déclarations. La conférence de Doha présente en effet un défi unique : regarder le présent et l'avenir, en relevant le niveau d'ambition des objectifs de réduction d'ici à 2020 et en préparant le futur accord pour l'après-2020. Ce sont bien les objectifs que la France s'est fixé avec ses partenaires pour la conférence.
Mardi matin (27 novembre), les négociations sont entrées dans le vif du sujet sur l'acte II du protocole de Kyoto, dossier crucial pour la réussite de la conférence des Nations unies et pour continuer de réduire les émissions des pays développés.
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